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Ce n’est pas simple à raconter…Parce que c’est tellement au fond de moi que je l’ai vécu cette histoire…mais je vais essayer de la partager autant que les mots peuvent le dire, juste pour satisfaire à la question d’une amie chère…chacun tirera les leçons qu’il pense bonnes pour lui. Moi j’ai tiré les miennes et je remercie le ciel. Lire la suite »


L’histoire raconte la légende d’une femme pauvre avec un garçonnet dormant sur  son  dos. Un jour,  passant devant une caverne, elle entendit une voix mystérieuse qui venait de l’intérieur lui dire :

« Entre et prend tout ce que tu désires, mais n’oublie pas le principal. Souviens-toi d’une chose : dès que tu seras sortie, la porte se refermera à tout jamais. Cependant, profite de l’opportunité, mais n’oublie pas le principal. »

La femme entra dans la caverne et trouva beaucoup de richesses.
Fascinée par l’or et les bijoux, elle dépose son enfant à terre et commence à amasser, anxieusement tout ce qu’elle pouvait déposer dans son tablier. La voix mystérieuse lui rappela : « tu as seulement huit minutes »

Les minutes épuisées, la femme chargée d’or et de pierres précieuses, courut hors de la caverne et la porte se referma. Elle se rappela alors que son fils était resté à l’intérieur et la porte était fermée à tout jamais.

La richesse dure peu  et le désespoir toujours.


Le principal, ce sont les valeurs spirituelles, la foi, la vigilance, la famille, les amis, la vie, la Vérité , l’Amour, le Don de soi.
Mais l’appât du gain, la cupidité, la richesse et les plaisirs matériels nous fascinent tellement que le principal reste bien assez souvent de côté.

Ainsi nous épuisons tout notre temps ici-bas à nous occuper des choses peu importantes ; et nous laissons de côté l’essentiel : Les trésors de l’âme.

N’ oublions pas,  que ce monde passe rapidement et que la mort arrive de façon inattendue. Et lorsque la porte de cette vie se fermera pour nous, comme sur ce garçonnet, les lamentations ne serviront à rien.

Nous vivons dans un monde rempli de soucis, d’angoisses, de corruptions, de vandalismes, d’accidents mortels, de crimes de sang, de débauche, d’injustices, où chaque jour, meurent des petits innocents, des parents , des  personnes stressées. Mais tout cela arrive parce que nous avons oublié le principal :

L’Amour, le simple fait  d’apprécier ce qu’on a et d’être en vie, la Paix, l’Humilité, la Sincérité , la Pureté , l’amitié, la Tendresse  et l’Innocence des petits Enfants.

Pose-toi une seule question : De quoi As-tu Réellement Besoin pour Vivre ?

Faisons l’effort  d’être Heureux à Chaque Instant, à Chaque Moment de la Vie, quelle que soit la Gravité ou la Difficulté d’un Problème.

La Vie , nous en avons Seulement Une. Profites-en, Soigne-la, Eprend-toi d’elle, pour que tu n’aies jamais à te repentir de rien, même si tu as manqué ou n’a pu faire quelque chose !!!

  • Dans quelques heures  une nouvelle année  s’ouvrira peut être pour toi, (Rends Grâce à Dieu ! Car certains ne  verront  pas demain) 
  • Tu seras certainement au travail (Rends Grâce ! Tout le monde n’en a pas)
  • Bien habillé(e) maquillée et Parfumé(e) (Rends grâce ! Tout le monde ne peut pas se le permettre)
  • Très occupé(e) par ton gagne-pain (Rends Grâce ! Et ais une Pensée pour les chômeurs)
  • Sollicité(e) de toute part (Rends Grâce ! Beaucoup s’ennuient au travail)
  • Tes téléphones n’arrêteront pas de sonner (Rends Grace ! Car Il y en a qui ne connaissent même pas la sonnerie de leur téléphone. Tellement ça sonne Peu !)

Ce texte est beau et plein d’enseignements. N’est-ce pas ?

Ne te fie pas à sa beauté ! Elle est superficielle, et ce n’est pas là le principal !

Fies-toi aux  « vérités »  qui s’y trouvent ! C’est là où se trouve l’essentiel, Le PRINCIPAL ! 

Que le  Tout Puissant guide nous assiste, Guide nos pas et nous aide à ne pas oublier le principal !

 

Auteur Inconnu

 

 

 

MMD…

Darwin a dit: « Les espèces qui réussissent ne sont pas celles qui sont les plus fortes, ni les plus intelligentes; mais celles qui s’adaptent le mieux au changement »

Je souhaite commencer une série d’article sur le mariage et tout ce qui tourne autour de cela… Je vais le faire un peu dans le désordre. Aussi je continue avec cette espèce de «guide pratique » qui me vient d’un auteur inconnu et que je partage avec vous.

J’ai fait une petite immersion dans le monde des MMD (MMD = Marié Mais Disponible) et il y a tellement de souffrance à aimer un homme ou une femme déjà pris(e) et de concessions à faire. J’y reviendrai avec un peu plus de détails… En attendant voilà :

  1. Éviter de faire de projets, même à très court terme avec lui
  2. Éviter de se fier à ses promesses
  3. Profiter au maximum du laps de temps qu’il vous accorde
  4. Être à sa disposition mais ne jamais attendre que cela soit réciproque
  5. Ne jamais l’attendre le jour où il voyage, il fait la valise avec son épouse
  6. Ne jamais l’attendre le jour où il rentre de voyage, il a besoin de se ressourcer en famille
  7. Réussir à diviser son cœur en quatre et ne lui en accorder qu’un quart
  8. Éviter de l’appeler à une certaine heure, quelle que soit l’urgence
  9. Dites-lui poliment « Bonjour Monsieur » et abstenez-vous de lui dire « tu », quand à tout hasard, vous le croisez dans un super-marché en compagnie d’une dame, c’est son épouse ou sa belle-sœur. Si elle paraît beaucoup plus âgé que lui, il s’agit certainement de sa belle-mère
  10. Ne l’attendez jamais le 24 décembre, c’est la fête des enfants légitimes et il doit bien s’en occuper, il viendra voir le vôtre le 25 au matin en tenue de Jogging (si vous avez eu le courage de lui en faire un)
  11. Ne l’attendez pas non plus le 31 décembre, c’est une fête de famille, et vous n’en faites pas partie
  12. Ne vous offusquez jamais du fait qu’il n’ait pas pu honorer un de vos rendez-vous, il vous prendrait pour une folle, vous saviez très bien à quoi vous vous engagiez
  13. Ne lui demandez jamais de vous accompagner à une fête organisée par vos amis ou votre famille, il pourrait être reconnu
  14. Préparer une bouée de sauvetage, car le bateau peut couler à tout moment
  15. Il vous aurait épousée s’il vous avait rencontrée plut tôt,vous êtes une femme formidable, mais vous arrivez trop tard, alors ne fondez pas de faux espoirs sur lui. Dans tous les cas de figures, celle qu’il a épousée depuis plusieurs années demeure le meilleur risque

Sortir avec un homme marié, c’est aussi naviguer à vue, sans boussole, ni destination précise, dans une embarcation fragile, dépourvue de rempart et exposée à toutes catastrophes… !

Suggestion de lecture :

Vie de couple

Amour secret…

… Des filles, des femmes, sont libérées.

Ce jour, malgré un peu de fièvre, je zappe et re-zappe dans l’espoir de tomber sur une émission qui en parle. Et bien, rien. Je constate que c’est une « actualité » qui ne fait vraiment pas le Buzz, même sur la toile et pourtant ça devrait, car elle nous concerne tous. Vous vous demandez surement de quoi je parle … Pas d’impatience j’y arrive.

J’ai une grande cousine qui a bien failli connaitre sa fin du monde prématurément. Et pourquoi ? Parce qu’elle a voulu mettre un terme à une grossesse de 5 mois pour ne pas avoir de problèmes avec son mari. Ça fait deux ans qu’ils sont mariés et ont 4 enfants. Sauf que sur un coup de tête ou pour des raisons que j’ignore, il a décidé que sa femme doit mettre un terme à la grossesse. Dès le début de la grossesse, elle était persuadée d’arriver à le faire entendre raison, mais l’inexécution à l’ordre de son mari va mettre l’huile au feu et leur relation va en souffrir, au point où, au 5ème mois, elle décide finalement de mettre un terme à la grossesse pour la « paix » du foyer.

Le 25 novembre dernier, c’est la date choisie par les Nations unies pour célébrer la journée internationale pour l’élimination de la violence contre les femmes. Au Cameroun, les femmes ont joué à fond leur rôle de victime…

La violence, que vous inspire ce mot ? Moi il m’inspire les coups, la brutalité, la répression, la contrainte, la frénésie, la fureur, le déchainement, la force, le viol, la virulence, l’agressivité, l’excès…

Mon opinion sur le sujet est mitigée d’une part parce que c’est ce type de journée qui selon moi contribue à creuser le fossé dans la pensée populaire des hommes et des femmes : la femme est le sexe faible qu’il faut protéger, d’ailleurs ce genre de journées sont créés pour défendre les droits des faibles, qui ne sont rien d’autres que les femmes, les enfants… Et pourtant il y a bien des femmes qui malmènent des hommes et des femmes violentent d’autres femmes ; pire des enfants qui malmènent leur parent. D’autre part, malgré les multiples débats sur l’égalité des hommes, la réalité est que dans bien de sociétés, les femmes sont et resteront toujours sous la coupe des hommes : si ce n’est pas un père, c’est un mari, ou alors un frère ; qui lorsqu’il a envie de faire passer sa « loi » n’hésite à contraindre…

Si des femmes et des enfants violentent, il semble que les hommes soient ceux qui détiennent la palme en matière de violence notamment physique. Ils n’hésitent pas à faire passer leurs lois au travers des coups de poing et des gifles bien résonnantes. Le nombre de femmes ayant trouvé la mort suite à des disputes ménagères est inquiétant… Cette situation n’inquiète pas un grand nombre plus que ça, rien n’est fait ou exécuté. Nous sommes bien là, dans une société patriarcal. D’ailleurs c’est souvent la faute de la femme qui ne sait pas tenir ou obéir à son mari.

Je suis tout à fait d’accord avec West quand il dit que La société a ses tords dans les valeurs morales qu’elle transmet et dans lesquelles elle enracine l’éducation sexuelles des jeunes générations à travers le média de masse. J’invite bien à lire son billet à ce propos : Wondered Woman …

L’éducation que nous recevons de nos parents et que nous donnons à nos enfants est celle de la différenciation des sexes dès le bas âge : la fille joue à la poupée (histoire de se préparer à être mère elle-même demain), elles font les taches ménagères et les garçons font du sport. S’il est toléré qu’une fille se plaigne et pleure tout le temps, cela n’est pas acceptable pour un garçon. Un garçon ça ne pleure pas, il est fort, d’ailleurs montrer ses sentiments est un signe de faiblesse, donc zone interdit… Une fille doit manger moins qu’un homme car la nourriture la fera grossir… Or lui en a besoin pour être fort.

Très tôt, les filles portent leur manteau de victime et les garçons celui de protecteur, c’est-à-dire celui qui doit avoir le dessus sur elle. Certaines vont réussir à se défaire de ce manteau à l’âge adulte et les autres resteront des victimes.

Je ne vais pas tenir un discours de féministe, je ne le suis pas. Il m’arrive de pleurer et je ne déteste pas l’idée d’être « protégé » et rassuré par un homme. De me faire belle pour plaire … à un homme ; de me soumettre à lui, n’en demeure pas moins que j’exige de lui autant de respect et de considération, car s’il est plus fort physiquement que moi et mon chef, nous sommes égaux devant la loi.

J’ai bien aimé lire la série d’articles sur l’égalité écrit par Mebene : « Les hommes naissent libres et égaux. C’est ce que dit la charte des droits de l’homme. Mais quelle signification exacte donner à cette expression ? N’existe-t-il pas des hommes riches et des autres pauvres ? N’existe-t-il pas des hommes grands et des hommes petits ? Des femmes belles et des femmes laides ? Des hommes (plus forts physiquement) et des femmes ? Comment peut-on dire que toutes ces personnes sont égales ?… »

Les acteurs et les victimes de la violence le sont donc à cause de leur éducation ou des ratés de celle-ci. Une fille douce et forte c’est possible et un garçon fort et attentionné aussi.

Si les violences professionnelles sont mieux dénoncées que par le passé, les violences domestiques quant elles restent le grand tabou chez nous en Afrique. Des enfants sont violentés et roués de coups sous le pseudonyme de l’éducation sans que personne ne disent rien.

Scénario observé en silence et ou en larmes par la mère impuissante ou se disant : c’est surement pour leur bien. Des épouses subissant en silence les sévices psychologiques et physiques d’un mari en quête de personnalité. Des hommes n’osant pas parler des violences venant d’une femme au coup de poing d’acier.

Notre société africaine est aussi faite de nombreux tabous, dont on peine à parler quand on est concerné à cause de la peur, la honte, la douleur. Tout reste sous silence et malheureusement ce silence contribue à arroser ces tabous qui ne nous arrangent pas.

En 2009, le Comité des Nations Unies pour l’élimination de la discrimination faite aux femmes avait demandé au Cameroun d’accélérer l’adoption du projet de loi sur la prévention et la répression de la violence à l’égard des femmes et la discrimination fondée sur le sexe et à s’attacher en priorité à lutter contre la violence à l’égard des femmes et des filles, en particulier la violence familiale. Il demandait à l’État de sensibiliser la population, au moyen de programmes d’information et d’éducation, au fait que toute forme de violence à l’égard des femmes constitue une discrimination au titre de la Convention et donc une violation des droits fondamentaux des femmes.

Il avait, en outre, souhaiter à ce que la violence à l’égard des femmes et des filles, y compris la violence familiale, le viol conjugal et toutes les formes de sévices sexuels, soient érigées en infractions pénales, que les auteurs soient poursuivis et punis et les victimes réhabilitées et que les femmes et les filles victimes de violence aient immédiatement accès à des moyens de recours et de protection. Enfin, le Comité demandait que tous les obstacles qui empêchent les femmes et les filles d’avoir accès à la justice soient levés et que les victimes de violence puissent bénéficier d’une aide juridique, notamment grâce à la mise en place de centres d’aide juridique en milieu rural, tout en insistant qu’une formation à l’intention du personnel judiciaire et des fonctionnaires, notamment les agents de la force publique, les prestataires de services de santé et les agents de développement communautaire soit organisée, « afin qu’ils soient sensibilisés à toutes les formes de violence à l’égard des femmes et des filles et qu’ils puissent apporter aux victimes l’aide appropriée ».

Des organisations humanitaires Internationales ont uni leur force pour que cet événement constitue l’occasion d’attirer l’attention de l’opinion publique sur les violences perpétrées quotidiennement à l’encontre des femmes, mais cela semble se noyer au profit de la très célèbre journée du 8 mars (journée internationale de la femme).

Cette journée est donc passée sous silence sous le ciel Camerounais et n’a capté l’attention ni de la société et encore moins des femmes; laissant ainsi des actions faites se recouvrir doucement de poussières. Ce qui est dommage, car la violence ne recule pas plutôt, elle gagne du terrain. A défaut d’agir, soutenons ce combat en encourageant des victimes à la dénonciation publique, juridique.

L’amour d’une mère !

On m’a récemment envoyé par mail ce  texte, je l’ai beaucoup aimé aussi je le partage. L’amour d’une mère n’a pas de prix.

Un soir, pendant que Maman prépare le dîner, sa petite fille arrive dans la cuisine et lui présente un morceau de papier. Maman s’essuie les mains sur son tablier et commence à lire.

  • Pour avoir tondu le gazon……………………………………………………500 Frs
  • Pour le nettoyage de ma chambre……………………… …………….. ..500 Frs
  • Pour avoir fait des emplettes pour toi…………………………………..500 Frs
  • Pour avoir gardé mon petit frère pendant que tu étais au service……………………………500 Frs
  • Pour avoir obtenu un bon bulletin………. ………………………………500 Frs
  • Pour avoir sorti les déchets…………………………………………………500 Frs
  • Pour le nettoyage et râtelage de la cour…. …………………………….500 Frs

Total….. ………………………………………………………………………… ………3500 Frs

Sa mère la regarda droit dans les yeux. On pouvait voir, dans ses yeux brillants, défiler une foule de souvenirs.

La maman prit alors la plume, tourna la feuille et se mit à écrire au verso :

  • Pour t’avoir portée  9 mois, c’est…………………………………………….. GRATUIT.
  • Pour toutes  les nuits passées auprès de toi à prier , chanter et à te soigner, c’est …………………..GRATUIT.
  • Pour tout le temps et toutes les larmes dépensées pour toi depuis ta naissance, c’est………………GRATUIT.
  • Pour tous les conseils, les connaissances transmises et le prix de tes étude s , c’est……………… GRATUIT.
  • Pour tes jouets, ta nourriture, tes vêtements et même pour t’essuyer les larmes et  te moucher,  c’est……………………….GRATUIT.

Ma fille, si tu fais  l’addition, tu constateras que le prix de mon amour pour toi, c’est……………………..GRATUIT.

Quand la fille eu terminé de lire ce que sa maman avait écrit, deux grosses larmes coulait sur ses petites joues. Elle regarda sa mère et lui dit: « Maman comme Je t’aime !  » C’est alors qu’elle prit la plume et inscrivit sur sa facture en grosses lettres… PAYÉ INTÉGRALEMENT…
Avec Dieu c’est pareil, on attend toujours plus et on ne s’aperçoit pas de ce qu’il nous donne à coté.
Disons merci à DIEU  pour la vie  qu’il nous donne car c’est aussi… GRATUIT.
Partage ce beau message avec quelqu’un, une maman, un enfant, ça ne te coutera rien (peut être le temps de ta connexion)… C’est GRATUIT et ça pourrait faire plaisir à autrui.

Été 2OOO.

Il est 21h40, pour la couche tard que je suis, j’étais déjà dans mon lit depuis bientôt une heure. Malheureusement, je n’arrivais pas à trouver le sommeil. Je me tournais et retournais dans le lit, espérant à chaque fois trouver la meilleure position où le sommeil me sera enfin propice. Rien ne se faisait.

J’espérais échapper à toutes ces pensées, à cette souffrance, à cette déception dans le sommeil. Mon cœur était lourd d’émotions que je n’arrivais pas à exprimer. Tous les moyens employés jusque là pour extirper la douleur de moi étaient vains, même le sommeil me refusait sa paix.

Brice, c’est mon jeune voisin et un peu mon ami qui me fait une cour douce et assidue. Je l’apprécie bien, mais contrairement à lui, j’ai d’autres projets pour lui et moi. Pour marquer sa sortie de l’adolescence, il avait prévu une petite fête chez lui à laquelle j’étais conviée.

J’hésite à aller à cette fête… Une amie me motive à y aller et elle serait prête à m’accompagner si je voulais ; offre que je ne pouvais refuser. Dans un territoire inconnu, j’aime autant être accompagnée. S’y prendre tard à eu pour conséquence notre arrivée tardive à la fête.

Il y avait un chien qui était aussi le gardien de la maison. Je ne le savais pas, ciel ce que j’avais peur des chiens. En vain j’ai cherché la sonnerie, je ne pouvais braver ce chien, malgré le portail entr’ouvert. Il était préférable de partir. J’étais sur le point de le faire lorsqu’une voix ; oui cette voix qui insidieusement s’est glissé en moi à cet instant  m’a interpellé.  Je ne voyais pas la personne qui me parlait, j’entendais juste une voix, elle m’était inconnue, mais si rassurante, m’encourageant à n’avoir pas peur du chien qui en apparence méchant, mais bien assez doux.

Finalement, je passe l’étape du chien ! Cette maison était un labyrinthe, je devais retrouver le salon où se passait la fête. Le couloir que j’avais pris me rassure, je ne suis pas égarée, je peux entendre une lueur de musique venir me caresser les oreilles. Je regardais encore le plan sur mon invitation avant de la ranger dans ma pochette lorsqu’il m’a légèrement bousculé dans ce couloir. Je me suis retournée, il m’a regardé, je l’ai regardé, ce regard … Il s’est excusé, la voix, je la reconnais, c’était celle qui me rassurait face au chien. Je lui ai juste souri en guise de réponse. Il s’en allait, j’arrivais.

La magie s’est opéré en quelques secondes : la fragrance de son parfum m’a captivé, sa voix m’a séduite,  son regard m’a accroché, j’étais comme hypnotisé  par lui, cet inconnu tout de blanc vêtu.  «  Il me le faut »

J’arrive enfin dans la salle de fête, mon hôte me voit et se dirige vers moi pour nous accueillir.

  • Enfin tu arrives
  • Tu me connais, j’aime bien me faire désirer.  Joyeux anniversaire
  • Merci. Et si on allait au buffet ?

Avant d’arriver au buffet, il me présente à quelques de ses amis…

Il m’invite à danser, mais déjà, j’ai la tête et les pensées ailleurs. Je pense à l’inconnu en blanc du couloir, je ne l’ai pas revu. Je veux savoir qui c’est, je me renseigne donc auprès de mon hôte qui ne me donne que son nom. Ce n’était pas assez comme informations, mais ce n’était rien non plus.

De retour chez moi, je demande à mon frère s’il connait Eb ; ce nom ne lui disait rien. Je lui demande de se renseigner, c’est quelqu’un que j’ai croisé  il y a quelques heures à la fête de Brice. Mon frère s’exécute, pour une fois que sa sœur montre un intérêt  appuyé pour un gars, vaudrait mieux savoir qui c’est.

Il revient quelques heures plus tard, il a l’info ou pas vraiment. Je ne suis pas plus avancé et je n’ose en demandé  plus à mon voisin, ce ne serait pas poli. Justement, il arrive chez moi pour m’inviter à nouveau. Cette fois à terminer la soirée en boite de nuit.

  • Il y aura qui ?
  • Jean, Paul, Esther,… Eb,..

Je ne l’écoutais plus, je sautais de joie dans mon cœur. Bien sur que je serai là, s’il est là.

Je suis prête pour la soirée, j’ai longtemps hésité devant ma garde-robe avant de me décider. L’habit ne fait pas le moine, mais c’est quand même grâce à son habit qu’on reconnait le moine. Je me devais d’être à mon avantage ce soir. Ma copine venait avec moi, mon frère aussi.

La soirée se passait plutôt bien, j’évitais l’alcool, aussi je sirotais tranquillement mon jus d’orange quand Brice se montra enfin et il n’était pas seul…Eb était avec lui. Il voulait me présenter à quelqu’un…Mon cœur fit un bond dans ma poitrine.

Il m’invite à danser, je ne me  fais pas prier et  le suis sur la piste de danse. Avec le bruit pas moyen de communiquer vraiment. Il n’est pas bon danseur, je le constate aussitôt. Je me trémousse devant et autour de lui, il semble apprécier le tableau. Il veut que je m’arrête, il me prend dans ses bras, malgré le rythme ambiancé qui chauffe les platines du DJ. C’est tellement déconcertant, mais je suis le rythme qu’il m’indique, nous trouvons la bonne cadence, à cet instant c’est comme s’il n’y avait que lui et moi dans cette salle, dansant sur une musique rien que pour nous .  Et finalement une langoureux slow des Boyzs II Men vient adoucir la cadence. Je me laisse aller tout contre lui, je m’y sens bien.

On ne s’est pas quitté de la soirée, on a passé des moments uniques.

C’est le moment de rentrer, les départs sont organisés en groupe. Eb et moi étions seuls dans la voiture. On n’arrivait pas à se parler, on se regardait, se lorgnait et se souriait. Il me dépose chez  moi avant de continuer chez lui au petit matin…

Il est revenu, il est juste de dire qu’il est venu pour la première fois officiellement chez moi  l’après midi suivant la virée nocturne. Il a découvert mon environnement, on a beaucoup échangé. Il  voulait savoir ce qu’il y a entre moi et Brice. Rien. Il veut savoir si je suis libre, je n’ai pas d’attaches. On termine la soirée chez lui. Je découvre aussi son environnement… Il n’y avait pas grand-chose en commun entre mon milieu et le sien, la seule chose qui nous rapprochait, nous unissait c’était ces sentiments naissants…

Nous avons passés deux semaines et  cinq jours merveilleux… de bonheur, de fous rires, d’intimités, de partages, de découvertes. Et puis vint la fin de l’été et avec cela la fin des amours…

Ajoutez votre grain de sel personnel… (facultatif)

Hope

De faire du bien; bien plus souvent. Avez-vous remarqué combien il n’est pas facile de céder à la tentation de faire du bien ? Faire du bien nous demande souvent de faire un effort :  » Je donne ? Je ne donne pas ? Je l’aide ? Je ne l’aide pas ? … » autant de questions, de doute que l’on peut ressentir quand il s’agit de donner un peu de notre temps à autrui, de donner un  peu de nos biens matériels.

Par contre, on cède plus souvent à la tentation de dire :  » Non » ;  de faire du mal, de dire des médisances. J’arrive à penser que c’est presque naturel…Avez vous remarqué que les petits enfants disent facilement le « Non » avant de se raviser et dire « Oui » ? Moi ça m’interpelle…

Le 13 novembre; c’est la journée « mondiale » de la gentillesse ! Le « World Kindness Day »…

Voir l’article original 722 mots de plus

« En tant que père, je pense que le non-né est un être humain. Plus d’une fois  j’ai vu des réactions des bébés dans le ventre. C’est un crime de leur ôter  la vie lorsque la vie de la mère porteuse n’est pas en danger.  Même si le nouveau né est le fruit d’un viol, il n’a pas demandé à y être. »

C’est  bien humain de juger,  on n’y peut pas grand-chose des fois, parce qu’en plus la plupart de temps cela est fait sans qu’on s’en rende compte.  Mais le comble c’est quand autrui pense savoir mieux que soi ce qui serait bien pour nous.

Lorsqu’une fille (femme) apprend qu’elle est enceinte, cette nouvelle peut engendrer chez elle diverses émotions selon les circonstances : bonheur, tristesse, colère, déprime, dépression. C’est un choc émotionnel pour la plupart.

Après la nouvelle, il y a un choix à opérer : garder ou ne pas garder.  J’ai constaté que pour beaucoup, la question ne devrait même pas se poser, être enceinte est synonyme de garder le bébé jusqu’au terme. L’autre option, celle d’interrompre la grossesse est mal accepté, non envisageable, peu importe les raisons qu’on pourrait avancer.

Mais malheureusement pour certains, on doit aussi composer et même accepter que parfois une grossesse peut ne pas atteindre son terme ; à cause  du choix de la personne qui porte le fœtus. J’aime à dire que le choix d’un avortement même s’il semble facile pour autrui, en réalité il est le choix le plus difficile que puisse faire une fille ou une femme face à une grossesse désirée ou indésirée. Quand on n’a pas vécu cela, il est difficile de comprendre les personnes ayant fait ce choix ; même si au fond de soi on pense comprendre.

Ce choix, je disais tantôt qu’il est difficile : à 2O ans quand on choisit d’avorter pour des raisons bien motivées, à 45 ans on se retrouve parfois à pleurer d’avoir fait ce choix là. Et pourtant à ce moment là on n’avait pas un autre choix que celui là ; un choix à double douleur ! Mais c’est mon choix alors respecte le !

La fin de la journée…

Je  me demande si c’est le cas pour vous, mais moi avec le temps qui passe et les années qui  s’ajoutent à mon âge, je suis de plus en plus sensible à certaines (plusieurs) choses ; ce qui n’était pas le cas, il y a encore quelque temps.

Fiction ou vérité ; je ne saurai dire, toujours est il que certains  annoncent  La fin du monde pour très bientôt . Oh non faut pas croire que je cède à la panique, non vraiment rien de cela ; et puis  Claude n’a pas attendu ce délai pour vivre sa fin du monde ou la fin de sa journée.  Je me pose  juste des questions essentielles et existentielles.

J’étais à Balaatchi il y a quelques temps pour les obsèques de  Claude. Son décès m’a affecté d’une façon surprenante. Je l’ai rencontré un dimanche dans le cadre d’une association que je fréquente une fois par mois ; eh oui je me « sociabilise » ! Mardi d’après j’apprends son décès. J’étais désolée pour elle et les membres de sa famille sans plus,  les gens meurent tous les jours me suis dit.

C’est fou comment une personne pleine de vie, qui réussit à presque tout ce qu’elle touche peut passer de vie à trépas sans préavis aucun.

Je n’étais pas très proche d’elle, mais pour des raisons de sociabilité, je suis allée à son village pour son enterrement. Je n’avais pas prévu pleuré, je ne pleure pas souvent dans ces cas là, mais j’ai pleuré, j’ai eu vraiment mal au cœur à cet instant là.

Il y avait là un petit garçon d’à peine 4 ans qui pleurait et réclamait le réveil de sa mère qui dort déjà depuis quelques jours.  C’est ce petit garçon qui a déclenché autant d’émotions chez moi.

Je n’avais jamais vu un enfant aussi jeune être autant conscient de la disparition de sa mère. Et je ne comprenais pas pourquoi on laissait cet enfant être victime d’autant de traumatisme  : lui montrer à répétition la dépouille de sa mère… Coutume m’a- t-on appris !

Je me suis vue dans ce cercueil un court instant  et j’imaginais mon fils du même âge  à la place du fils de Claude. Cette vision était douloureuse pour moi !

La mort ; est l’unique chose dont on est sur qu’elle va arriver ; on ne sait pas quand, ni comment et où , mais un de ces jours sera surement le dernier ; aussi je  ne me suis jamais inquiétée pour cela. Mais aujourd’hui, je m’inquiète pour mes enfants, de ce qu’ils deviendront à mon absence.  Et là je me dis quand même que je n’aimerais pas mourir quand ils sont encore jeunes et si dépendants !

De pareilles situations me  rappellent combien la vie ne vaut rien, mais rien ne vaut la vie. Mais surtout, cela me dispose davantage au service de mon prochain, parce que quand je sers mon prochain c’est aussi moi que je sers.

Bonjour…

J’ai été bien silencieuse ces derniers temps, vous savez ce que c’est … La vie me prend dans  de ces enchainements !  Malheureusement une journée n’a que 24 heures  et il est difficile d’être partout à la fois.

Ce n’est pas une star de rock, mais quelqu’un  qui  savait  entre autre parler d’amour et d’illusions :  les aventures d’Esse sont sublimes… C’est émouvant. En plus d’amour et d’illusions, il écrit d’autres choses; et ce billet  a retenu mon attention   : Silence, on se tue … Mr West, puisqu’il s’agit de lui m’a émue, une fois de plus (différemment) au point de me faire reprendre la question.

Le père d’une connaissance s’est pendu. Avant de le faire, il a laissé une lettre, disant qu’il préfère mourir au lieu de vivre l’indifférence de ses enfants face aux difficultés qu’il vit. Pour cette famille c’est le drame, mourir de suite d’un suicide en Afrique ne s’accepte pas : pas de pleurs, pas de regrets (ou alors pas exprimés),  pas  de morgue, pas de cérémonie du deuil ou funérailles, aucune émotion,  mais plutôt  on s’interroge sur la malédiction qui risque de suivre suite   à l’acte posé.

Là  où il s’est pendu,  on a creusé un trou assez profond ; quelqu’un s’est porté volontaire pour couper la corde qui le maintient encore au plafond  afin qu’il se retrouve au fond du creux qui allait être sa tombe.

Jim Jefferies, un  comédien australien a fait une remarque dans un de ses show, sur le taux élevé de suicides en Occident : « Nous avons en Occident un taux de suicide bien plus élevé qu’en Afrique. En Afrique, une personne sur quatre meurt du sida, cependant les Africains sont plus heureux que nous ».

Mais est-ce bien vrai ? Que savons-nous exactement du suicide en Afrique ?

J’aurais tendance à dire qu’on sait peu sur le suicide en Afrique, simplement parce qu’on ne parle pas de suicide dans cette contrée. « Le suicide n’existe pas » c’est un phénomène complètement stigmatisé.

Un tour sur Google permet de se rendre compte de la presque inexistence des statistiques à jour sur le suicide en Afrique. Ceci pourrait s’expliquer par le silence qui règne autour du phénomène dans des familles. Quelques informations disponibles à ce sujet proviennent des faits divers rapportés.


Contrairement à ce que l’on pense des gens se suicident de plus en plus en Afrique ; tant les villes que dans les villages. Les raisons sont assez inconnues. Certains laissent des messages pour tenter d’expliquer l’inexplicable.

Ainsi, le mal de vivre, les difficultés financières, des problèmes familiaux, des raisons de santé (notamment des malades de SIDA)  sont entre autres des raisons qui poussent certains à mettre un terme à la vie.

La malédiction et la sorcellerie sont des raisons toutes trouvées pour justifier l’inacceptable qu’est le suicide dans des familles. D’ailleurs c’est l’unique raison officiellement accepté et acceptable par des familles qui ont connu pareil drame. On préfère fuir la profondeur du problème et de trouver la raison réelle qui a conduit à pareil acte.

J’ai connu des jeunes qui se sont suicidés par peur de décevoir leur famille. Ces jeunes étaient l’espoir de toute une famille, face à l’échec et en anticipant la réaction des  parents ; ils ont préféré se dérober à la vie au lieu d’y faire face.

Le suicide en Afrique est un fait d’actualité qui se dévoile peu à peu et il serait peut etre temps de briser le silence qui l’entoure. Mais comment briser le silence si on ne comprend déjà pas de quoi il s’agit ?

Jim Jeffries pense qu’on est plus heureux en Afrique qu’en Occident. Personnellement je n’aime pas beaucoup comparer parce qu’en général, on compare pour avoir raison, pour justifier, mais pas pour forcément trouver la solution. La société occidentale est différemment structuré de la société africaine, aussi pour moi, il n’y a pas lieu de comparer.

L’individualisme en Occident tend à accroitre le taux de suicide. Or en Afrique les gens vivent en communauté, mais ceci tend à changer. Des gens  sont de plus en plus centrées sur elles mêmes (ma famille : ma femme, mes enfants) ; on a moins de temps pour autrui. On agit que si on a un intérêt, si on y gagne quelque chose. L’individualisme se construit doucement et surement; mais aussi se structure !

Ceux qui se suicident sans laisser de mots, sont ceux qui m’interpellent le plus. J’ai toujours l’impression qu’il y a une souffrance énorme, non communiqué, non décelé qui se cache et qui aurait pu ou dû l’être. Ceux qui écrivent des mots avant de se suicider, m’intéressent moins, parce que leur acte est réfléchi, ils ont pris le temps de penser l’acte, d’écrire à ce propos et de passer à l’acte. S’ils l’ont écrit alors ils auraient pu en parler (peut être qu’ils ont parlé et n’ont pas été  écoutés ?).

Le suicide est causé par la détérioration du milieu de vie, au niveau environnemental, familial et culturel. Il pourrait aller de  l’intention d’en finir avec l’existence au passage à l’acte. C’est un processus qui n’est pas aisé de détecter et pour de nombreuses familles l’étonnement vient se mêler au désarroi après que l’acte soit commis.

Même si des voix préfèrent se taire, et que des yeux se refusent à voir ; certains suicides renvoient directement à un échec du fonctionnement de nos sociétés, du modèle de développement et du fonctionnement même de la société ; du déclin de la fraternité et de la solidarité.

Des jeunes qui se suicident, les raisons trouvées sont les suivantes : mariages forcés, pression que subissent les homosexuels dans des sociétés où ce type de relation est interdite et pénalisée, viol, deuil, rupture amoureuse ; succession ; l’infertilité de l’homme et ou de la femme dans le mariage ; perte la virginité de la jeune fille avant le mariage ; la mort apparait souvent comme l’unique alternative face à la honte, face aux représailles pour ces cas.

Les éléments déclencheurs au suicide, s’ils ne sont pas forcément nombreux, il n’est pas toujours facile de les identifier si on ne s’intéresse pas à autrui, alors ne serait il pas bien de s’intéresser un peu plus autres ; à ceux qui nous entourent, de prendre soin des uns, des autres, de tout simplement remettre l’individu au centre des préoccupation ?  l’OMS a déjà pris les devant en instaurant une Journée Mondiale pour la Prévention du Suicide : le 1O Septembre.

Brisons le silence et agissons chacun  à son niveau ; intéressons nous ; prenons soin des uns et des autres. Parfois, le silence chez autrui pourrait traduire un mal être profond, qu’il prend soin de cacher jusqu’au jour où l’irréparable est commis; alors veille sur toi, mais aussi sur ton voisin !

Le temps est quelque chose de fort dans toute relation. Et en particulier dans la vie de couple. Avec le temps, beaucoup de choses s’en vont…et on peut difficilement y faire quelque chose. Un homme ou une femme qui nous a ravi…est vite parcouru(e) au bout de quelques mois, voire quelques années. Soit parce qu’il ou elle n’a pas suffisamment conscience de l’infini encore non révélé en elle ou lui (et donc ne permet pas d’y accéder) soit parce qu’on n’a plus envie d’aller plus loin dans le fond de l’autre. Lire la suite »

Vie de couple

C’est une histoire dont j’ignore l’auteur  et que j’ai reçu . J’aime bien  ce qui y est dit. Elle relate à mon sens des difficultés dans la vie de couple que l’on reproduit bien assez souvent.

Comme j’ai commencé avec en introduction la liste de la fiancée… Je pense qu’il serait bien de pousser jusqu’au mariage et même après… Cette histoire donne donc un peu le ton.

Lorsque je suis arrivé à la maison et que ma femme servait le dîner je lui ai pris la main et lui ai dit: j’ai quelque chose à te dire. Elle s’asseya et tranquillement sans dire un mot mangea.
Encore une fois je vis la peine dans ses yeux.

Soudainement je ne savais plus ouvrir la bouche. Mais je devais lui faire part de ce que je pensais. Je veux divorcer. J’ai soulevé le sujet calmement. Elle n’a pas semblé contrariée par mes paroles, elle m’a simplement demandé pourquoi?
J’ai fuis sa question. Elle s’est alors fâchée. Elle lança les baguettes et cria vers moi, tu n’est pas un homme!
Ce soir là nous ne nous sommes pas adressé la parole. Elle pleurait. Je savais qu’elle voulait savoir ce qui était advenu de notre mariage. Mais je ne pouvais lui donner une explication satisfaisante, elle avait perdu mon cœur pour Jane. Je ne l’aimais plus. J’avais seulement de la pitié pour elle!

Avec un énorme culpabilité, je lui fis part de mes arrangements pour le divorce, que je lui léguais la maison, l’auto et je mettais en jeu 30% de mon entreprise. Elle y jeta un coup d’œil et le détruisit en morceaux.

Cette femme qui avait passé 10 ans de sa vie avec moi, était devenue une étrangère. J’étais désolé pour elle de ce temps gaspillé, de ressource et d’énergie, mais je ne pouvais reprendre ce que je venais de lui dire, car j’aimais Jane chèrement.
Soudainement elle s’est mise à pleurer très fort devant moi, ce à quoi je m’attendais. Dans le fond, ses pleurs étaient pour moi une délivrance.
Cette idée de divorce qui m’obsédait depuis plusieurs semaines, me semblait maintenant plus ferme et claire.

Le jour suivant, je suis revenu à la maison très tard, et l’ai trouvée assise à la table en train d’écrire. Je n’ai pas soupé et je suis directement allé me coucher et m’endormir aussitôt car j’étais fatigué de ma journée mouvementé avec Jane.
Lorsque je me suis réveillé, elle était toujours assise à la table à écrire. Je ne m’en suis pas occupé, je me suis retourné de côté et rendormi à nouveau.
Au matin elle me présenta ses conditions de divorce: elle ne voulait rien de moi, mais avait besoin d’un mois d’avis avant le divorce.
Sa requête était que, durant ce mois, nous devions tous deux se battre pour vivre une vie aussi normal que possible. Sa raison était simple: notre fils devait passer un examen à la fin de ce mois là et ne voulait en aucun cas, le déranger avec un mariage brisé.

C’était parfait pour moi. Mais elle ajoutait autre chose, elle me demanda de lui rappeler comment je l’avais transporté dans notre chambre nuptial le jour de notre mariage.
Sa deuxième requête était que durant ce mois, je devais la transporter de notre chambre au seuil de la porte tout les matins. Je croyais qu’elle devenait folle. Pour faire de ses derniers jours supportables, j’acceptais son étrange requête.

J’avisais Jane des étranges conditions de divorce. Elle s’est mise à rire et croyait elle aussi, que c’était absurde.
Jane me dit avec m’épris, que peu importe les ruses qu’elle prendrait, elle devait faire face au divorce.
Ma femme et moi n’avions plus aucun contact physique depuis que j’avais pris la décision de divorcer.

Alors quand j’ai dû la sortir de la chambre le premier jour, nous étions tout les deux maladroits. Notre fils applaudissait derrière nous, papa porte maman dans ses bras. Ces mots m’apportais de la peine. De la chambre au salon, ensuite à la porte, j’ai marché environ 10 mètres avec elle dans mes bras.

Elle ferma les yeux et me demanda doucement de ne pas parler du divorce à notre fils. J’ai fais oui de la tête, j’ai ressenti un étrange sentiment plutôt bouleversant. Je l’ai déposée par terre à l’extérieur de la porte. Elle est parti attendre l’autobus pour le travail. J’ai conduis seul jusqu’au bureau.

Le deuxième jour, tous les deux agissions plus facilement. Elle s’appuya sur mon estomac. Je pouvais sentir la fragrance de sa chemise. Je réalisais que je n’avais pas regardé cette femme attentivement depuis un bon bout de temps. Je réalisais qu’elle n’était plus jeune.
Il y avait des rides sur son visage, ses cheveux grisonnaient ! Notre mariage avait fait des ravages sur elle. Pour une minute je me suis demandé ce que je lui avais fais.

Le quatrième jour, j’ai ressenti un retour d’intimité. C’est cette femme qui m’avait donné 10 ans de sa vie.

Le cinquième et sixième jour, je réalisais que l’intimité ressentie grandissait à nouveau. Je n’ai pas parlé de ceci à Jane. Il était plus facile de la transporter au fur et à mesure que le mois avançait.
Peut-être que ce travail chaque jour me rendais plus fort.

Un matin qu’elle tentait de choisir quoi porter, elle essaya quelques robes mais ne parvenait pas à trouver la convenable. Elle murmura que toutes ses robes étaient devenues trop grandes.


Soudainement je prenais conscience qu’elle avait maigri, et c’est la raison pour laquelle je pouvais la transporter plus facilement.
Cela me frappa… elle avait enterré tant de peine et d’amertume dans son cœur. Inconsciemment j’ai atteint et touché sa tête.

Notre fils est arrivé à ce moment et a dit: « papa il est temps de porter maman dehors ». Pour lui, voir son père transporter sa mère dehors était devenu une partie essentiel à sa vie. Ma femme fit un geste à notre fils de venir plus près et le serra très fort.
J’ai tourné la tête parce que j’avais peur en cette minute de changer d’idée. Je l’ai ensuite prise dans mes bras, marchant de la chambre au salon et dans l’entrée. Elle mit ses bras autour de mon cou tout doucement et naturellement. J’ai tenu son corps serré, c’était comme le jour de notre mariage.  Mais sa maigreur me rendais triste.

Le dernier jour, lorsque je l’ai prise dans mes bras, je pouvais à peine bouger d’un pas. Notre fils était parti pour l’école.
Je la tenais fermement et lui dit: « je n’avais pas remarqué que notre vie avait manqué d’intimité ».

Je conduisis jusqu’au bureau… rapidement je sautai hors du véhicule, sans barrer les portes. J’avais peur qu’un seul délai puisse me faire changer d’idée… je montais les marches. Jane ouvrit la porte et je lui dit: « désolé Jane, je ne souhaite plus divorcer maintenant ».

Elle me regarda sidérée et me toucha le front. Fait tu de la fièvre? Je retirai sa main de mon front. Désolé Jane, mais je ne divorce pas. Ma vie de mariage était probablement devenu ennuyeuse parce que, ni elle ni moi n’avions évalué les détails de nos vies, mais non parce que notre amour était mort. Maintenant je réalise que depuis le jour ou je l’ai transportée dans notre demeure le jour de notre mariage, c’est mon devoir de la soutenir jusqu’à ce que la mort nous sépare.

Jane semblait soudainement se réveiller. Elle me gifla violemment et claqua la porte puis éclata en sanglots. Je redescendis l’escalier et je suis parti.

En route, j’arrêtai chez un fleuriste, j’ai commandé un bouquet de fleurs pour mon épouse. La vendeuse me demandait ce qu’elle devait écrire sur la carte. Je souris et écrivis « je te porterai dehors tout les matins jusqu’à ce que la mort nous sépare ».

Cet après-midi là j’arrivais à la maison, fleurs à la main, sourire aux lèvres, je montais les marches à la course, pour retrouver ma femme seule dans son lit – morte.

Ma femme se battait contre un CANCER depuis des mois, mais j’étais tellement préoccupé avec Jane pour seulement m’en apercevoir.
Elle savait qu’elle allait mourir sou peu et elle voulait me préserver, peu importent les réactions négatives de notre fils, au cas où nous aurions divorcé. — Au moins, aux yeux de mon fils — je suis un mari aimant…

Les plus petits détails de votre vie sont ce qui compte vraiment dans une relation; ce n’est pas la demeure, l’auto, la propriété, l’argent en banque. Ceci crée un environnement favorable pour la joie mais ne peut donner la joie à soi-même.

Alors trouvez du temps pour être l’ami de votre épouse et faites ces petites choses l’un pour l’autre, qui crée l’intimité.
Ayez vraiment un mariage joyeux!

Si vous ne partagez pas ceci, rien ne vous arrivera.
Si vous décidez de le faire, vous pouvez peut-être sauver un mariage.

Beaucoup d’échecs dans la vie, viennent du fait que, les gens n’ont pas réalisé combien ils étaient près du succès, lorsqu’ils ont abandonné.

Hépatites…

… L’autre jour je suis tombée sur une émission qui parlait de cette maladie et j’ai eu envie d’en savoir plus. J’ai demandé à mon proche entourage, on était plutôt évasif à ce propos. J’en conclus que c’est une maladie parmi nous et peu connue.

Il semblerait qu’au Cameroun environ 12 % de la population souffre de cette maladie.

C’est quoi l’Hépatite ?

Le foie est composée de cellules appelées hépatocytes ; c’est l’inflammation de celles-ci qu’on nomme hépatite.
L’inflammation du foie peut avoir plusieurs origines. On distingue donc différentes formes d’hépatites : virales (A B C D E F G), bactériennes, alcooliques, toxiques, médicamenteuses, auto immunes.

L’hépatite virale A
: Elle se transmet par voie digestive oro-fécale soit directe soit indirectement par l’eau souillée, contaminée par des selles infectées par le virus d’où une plus forte incidence dans les pays où les réseaux d’eau potable et les stations d’épuration sont de qualité insuffisante. Il existe un vaccin.
L’hépatite virale B : Elle est la forme virale la plus contagieuse (1OO fois plus que le Sida) et plus résistante aussi. Elle se transmet par transfusions sanguines ; par voies sexuelles non protégés ; transmission par du matériel non stérilisé (chirurgie, acupuncture, mésothérapie, soins dentaires) L’évolution des règles de stérilisation et la généralisation de l’utilisation de matériel à usage unique permettent de l’éviter. Mais il existe des pays où, faute de moyens, on réutilise le matériel à usage unique après une stérilisation sommaire. Les adeptes de tatouage et piercing seraient exposés à ce type de virus. Certaines personnes ont été contaminées parce qu’elles ont subit des scarifications réalisées dans des conditions d’hygiène approximatives. Elle se transmet aussi de la mère à l’enfant. Il existe un vaccin pour cela.

L’hépatite virale C : Elle se transmet par voie sanguine uniquement ou un contact avec du sang souillé ; n’importe quelle piqûre ou contact d’une plaie, même minime, avec un instrument infecté peut transmettre le virus (tatouage, piercing, partage du petit matériel d’injection autre que la seringue…). Des précautions à prendre pour éviter la contamination de son entourage consistent à protéger les plaies et coupures immédiatement après désinfection, éviter le partage d’objets en contact avec du sang (certains objets de toilette comme le taille-ongles, le rasoir, la pince à épiler, brosse à dent, les aiguilles pour mettre les greffes et autres rallonges…). Le risque de transmission dans ces conditions est certes faible, mais il vaut mieux être prudent… Contrairement à la B, elle n’est pas une MST. Il n’existe pas de vaccin.
L’hépatite D est une surinfection de l’hépatite B. Il n’existe pas de vaccin.

L’hépatite bactérienne : c’est une atteinte du foie du à des infections bactériennes du parenchyme hépatique ou des voies biliaires, ou encore de la conséquence d’une infection à distance, pulmonaire, urinaire ou d’un syndrome septicémique.

L’hépatite alcoolique : comme son nom l’indique c’est une affection du foie liée à la toxicité indirecte de l’alcool qui entraîne une mort cellulaire brutale et plus ou moins étendue. Elle peut prendre plusieurs formes, des simples lésions anatomiques asymptomatiques à une destruction étendue des structures du foie pouvant entrainer la mort.
L’hépatite médicamenteuse : une fois dans le sang, les médicaments passent par le foie qui les métabolise  et permet leur évacuation par les voies naturelles. Parfois, c’est le passage des médicaments par le foie qui active ceux-ci. Aussi, la prise de certains médicaments peut conduire à la dégradation du foie et conduire à une hépatite. Il semble que le paracétamol est connu pour sa toxicité hépatique
L’hépatite auto immunes : est une inflammation du foie due à la présence anormale de certains anticorps à la surface des hépatocytes (cellules du foie) qui entraine une attaque de ces anticorps contre notre foie.

En dehors d’un diagnostic médical, il est difficile de reconnaitre les symptômes d’une hépatite. Il  y a néanmoins quelques  symptômes non spécifiques  tels que : des douleurs abdominales, la fièvre, les nausées et les vomissements, les prurits avec urticaire, ictère et asthénie. Un médecin généraliste peut donner un diagnostic, mais la personne à même à suivre un malade dans ce cas c’est un gastro-enterologue.

Pour prévenir les hépatites virales, il faut avoir une bonne hygiène de vie : fidélité à un partenaire sain (ou emploie systématique des préservatifs en cas de partenaires multiples) ; transfusion de sang testé (sain) ; utilisation unique de certains matériels (seringues…), vaccination contre les hépatites A et B; les autres vaccins n’étant pas disponibles. Éviter la consommation abusive de l’alcool et des médicaments.

 

Bibliographie :

Wikipédia – Hepatite

Encyclopédie médicale

 

Eh eh eh ; vous vous demandez  peut être de quelle liste je parle ? Pas d’impatience j’y arrive.

Pour ceux qui lisent la bible,  il y a une intéressante histoire. Celle de Jacob, Laban, Léa et Rachel. Elle est rapportée dans [ Genèse 29 à partir du chapitre 15… ].  L’histoire nous dit que Jacob a travaillé 7 ans en guise de dot  pour avoir femme…

Chez moi, en Afrique, la dot c’est plus qu’un symbole, c’est une coutume, c’est une tradition. Elle est entourée de certaines cérémonies dont la liste ! Elle est l’étape la plus importante dès qu’on parle mariage.  En fonction des contrées, les manifestations  l’entourant  varient  de l’Ouest à l’est ou du Nord au Sud.

C’est quoi la dot ? Il faut dire qu’il y a dot et dot.  Il y a celle pratiquée  en Europe où  la famille de la future mariée dote le couple  de cadeaux et du nécessaire pour le début de leur vie maritale. D’un autre coté (notamment en Afrique)  c’est le futur marié (et ou sa famille) qui apporte des présents pour la femme à marier  et à sa famille.  Tout ceci se fait autour de ce qu’on appelle la liste ou le prix de la fiancée !

En Afrique, la dot est  donc apportée par l’homme à la famille de la femme. Cette tradition est aujourd’hui très critiquée par les détracteurs de la dot qui estiment que l’homme « achète » sa femme à un prix qui dépasse le symbolique. Or, il est clairement dit avant la cérémonie que ce qui est apporté ne représente pas un achat de la femme.  D’ailleurs peut-on réellement acheter un être humain ? … Il s’agit de cadeaux apportés à la famille de la femme dans le but  sceller une alliance entre deux familles.

On estime que le bonheur d’un couple ne se construit pas uniquement par lui,  mais aussi avec l’aide des proches, notamment la famille.  Prendre une fille sans  passer par l’étape de la dot, revient à la kidnapper… Et ceci ne porte pas toujours bonheur à ce  couple clandestin. Ça revient à un mariage sans certificat. Parce qu’à l’issue de la dot, la famille de la fille délivre un certificat de mariage coutumier…

La dot est un acte symbolisant les fiançailles et officialisant le fait que les fiancés sont « pris ». C’est aussi un moyen pour l’homme, de s’assurer qu’il ne sera pas haï par sa nouvelle famille (donc accepté par celle-ci).  Elle est  considérée comme une preuve  que l’homme  (ou sa famille) sera capable de prendre en charge la nouvelle famille qui va se constituer.  Elle est  un geste de gratitude de la part de la famille du marié envers la famille de la mariée pour avoir élevé et pris soin de cette dernière. C’est un élément d’alliance comme je le disais tantôt entre les familles puisqu’elle se fait en présence des membres des familles élargies de part et d’autre. Et à la fin de cette cérémonie, la famille de la femme reçoit (accueille (festin, échange, partage entre membre des familles) celle l’homme.

La dot est une sorte de caution, car en cas de certains*  divorces, elle est remboursée

Généralement, ce sont  les oncles et les tantes des fiancés qui président la cérémonie, et non les propres parents (pères,mères). Cela suppose, et exige donc, une certaine harmonie familiale. La famille devant être vécue au sens large et non une micro cellule.

La liste. La fameuse liste. Ceux qui ont déjà eu à se marier à l’africaine savent  très bien de quoi je parle. C’est l’étape ultime pour valider son mariage légalement selon la coutume. Elle donne des sueurs froides à plus d’un. Elle fait perdre l’envie de se marier à certains. D’aucuns renoncent à toute alliance familiale à sa vue. Et c’est ainsi que les détracteurs se multiplient face à l’incompréhension et  bien d’autres raisons. Mais je tiens à dire que comparaison n’est pas raison.

La liste ou le prix de la fiancée varie selon les régions de l’Afrique ou des ethnies. J’ai entendue des remarques du genre : « — Woow, la liste ci à elle seule dote au moins 8 femmes dans ma Région et il te reste même encore de la monnaie. — C’est quoi ?  La fille là est en or ou diamant ?  — Cette liste c’est de l’escroquerie ! ».

La liste du mariage dans des familles est parfois  unique pour toutes les filles de cette famille (élargie). Elle est assez souvent taillée à la mesure  du fiancée de la fille qui s’est mariée la première.  Si cette dernière a épousé quelqu’un de « bonne » famille.  Alors la liste sera taillée à la mesure des moyens supposés de l’homme et ou de sa famille.  Seulement  on est bien d’accord que parfois, l’amour ne choisit pas que les « bonnes » familles. Aussi, certaines sont amenées à redimensionner la liste  SI  la famille qui veut la femme en fait la demande.

Aujourd’hui,  pas mal de personnes  s’élèvent contre la liste et la tradition sans  que les raisons  ne soient vraiment justifiées.  Des jeunes hommes en désir de prendre épouse : «  — Wooo ; la liste là c’est trop ! — La famille  là veut seulement s’enrichir derrière moi ou quoi ?  — Yaaa, c’est le bar qu’on veut seulement ouvrir avec tous les casiers de bière qu’on me demande là !  —  Ou alors c’est la boucherie ? »  D’un autre coté, il y a la réplique favorite de celles qui vont se marier : «  — Je ne suis pas une marchandise hein ?  C’est quoi cette liste ! ». Pour, moi c’est juste de l’incompréhension de la coutume et de la tradition, mais aussi un manque d’informations.

Si la famille de votre copine refuse de redimensionner la liste à votre capacité ; alors elle ne veut  JUSTE pas de vous comme futur membre de la famille pour des raisons parfois justifiés (vos traditions sont très éloignées des leurs) ou injustifiées.  Aussi, on augmente le prix de la fiancée dans le but de vous décourager. D’aucuns  paient ; certains négocient à la baisse le package de la dot (cette pratique se fait de plus en plus, elle montre l’humilité d’une part de l’homme et d’autres son engagement à vouloir la fille)… et d’autres s’en vont  ou reviennent quand ils sont prêts !

Je voudrais quand même attirer l’attention sur l’histoire de Jacob qui a travaillé 7 ans pour Laban en guise de dot.

Évaluez votre salaire annuel et multipliez le par 7,  vous aurez le prix de la fiancée de Jacob. Cette fiancée, il ne l’a eu qu’au terme de cette périade pas avant.  Si vous avez lu l’histoire de Jacob, vous saurez que la femme qu’on lui a donné n’était pas celle qu’il voulait. Comme il tenait absolument à elle, il a dû travailler 7 années  supplémentaires pour l’avoir aussi.  Si vous étiez Jacob  comment auriez vous réagit ? Jacob n’était pas très content au départ, mais à qui la faute ? A lui. Il a omis de se renseigner sur les traditions  de cette famille. Pour éviter de s’offusquer, il est mieux de connaitre au départ le minimun des traditions de la personne que l’on veut épouser. Chez Laban, les cadettes ne marient pas avant les soeurs ainées.  De même qu’il y a une tribu au Nigeria où le cadet ne se marie pas avant son ainé. S’il veut se marier, il n’a qu’organiser d’abord le mariage de son ainé  ou  ses ainés, ensuite le sien aura lieu.  De même qu’au Cameroun, il y a des ethnies où le prix de la fiancée  est relativement élévé par rapport à d’autres où on te demandera juste un bidon d’huile de palme !  Il faut connaitre les coutumes des autres pour s’éviter de mauvaises surprises.

Le mariage n’est pas un jeu ; c’est une aventure qui va bien au delà des sentiments amoureux, aussi il est necessaire de montrer son sérieux et son engagement en franchissant les diverses étapes  qui sont proposées. Pour cela, il faut être prêt !
La dot est et reste symbolique , meme si  à l’Ouest on donne un bidon d’huile et qu’au Sud des sacs de morues sechées. Ce sont des symboles ayant des valeurs différentes. A chacun de voir, A chacun sa coutume !

Cette histoire vient vous parler d’un homme qui est le père de 4 garçons. Je ne sais pas vraiment qui en est l’auteur, mais elle me semble d’un certain intérêt et j’ai voulu la partager. Le père donc voulait apprendre à ses fils à ne point juger précipitamment. Pour cela il les envoya faire une enquête personnelle pendant laquelle ils devaient se rendre à une distance lointaine et aller chacun observer un poirier. Lire la suite »

Malheureusement je n’ai pas pu trouver la vidéo officielle…

J’ai tant voulu te dire les sentiments que j’ai peur pour toi
Libéré tout cet amour enfoui au fond de moi
Et j’ai tellement voulu fermer ces yeux qui te dévorent
Que j’ai mal et que je souffre bien plus encore

Que j’ai mal
Quand ton absence attise ma douleur
Que j’ai mal
Je n’arrive plus à surmonter mes peurs
Que j’ai mal
Ma solitude ne trouve pas l’âme sœur
Que j’ai mal

Je n’ose te dire combien j’aimerai combler  tes désirs
Prendre ta main, te dire je t’aime et te voir me sourire
Et j’ai ce goût amer, cette sensation d’inachevée
Ce regret de n’avoir pu t’avouer

Et le temps passe sans que je puisse même chuchoter
Qu’un rien m’agace quand tu n’es pas à mes cotés
Enmen’w sé sa mwen ka mandé
Fò démélé mwen

Et j’ai tout fait pour te plaire, que tu sois attiré
Mais je n’ai pu me défaire de ma timidité
Je veux crier que je t’aime
T’écrire tout plein de poèmes
Oublier ce qui me gêne
Te voler un baiser

Et j’ai tout fait pour te plaire, que tu sois attiré
Mais je n’ai pu me défaire de ma timidité
Je veux crier que je t’aime
T’écrire tout plein de poèmes
Oublier ce qui me gêne
Te voler un baiser

J’ai tant voulu le dire les sentiments que j’ai peur pour toi
Libéré tout cet amour enfoui au fond de moi
Et j’ai tellement voulu fermer ces yeux qui te dévorent.

Que j’ai mal…

 

 

Un maître de l’Orient a vu un scorpion se noyer et décida de le tirer de l’eau, et lorsqu’il le fit, le scorpion le piqua.
Par l’effet de la douleur, le maître lâcha l’animal qui de nouveau tomba  à  l’eau. En train de se noyer, le maître tenta à nouveau  de le tirer  de là ; seulement  l’animal le piqua encore.
Quelqu’un qui était en train d’observer se rapprocha du maître et lui dit :
— Excusez-moi, mais vous êtes têtu! Ne comprenez vous pas qu’à  chaque fois que vous tenteriez de le tirer de l’eau  il va vous piquer ?
Le maître répondit:

La nature du scorpion est de piquer, et cela ne va pas changer la mienne qui est d’aider.
Alors,  à  l’aide d’une feuille, le maître tira le scorpion de l’eau et sauva sa vie et continua:
– – Ne change pas ta nature si quelqu’un te fait mal; prends juste des précautions.
Les uns poursuivent le bonheur, les autres le créent.
Quand la vie te présente mille raisons de pleurer, montre-lui que tu as mille raisons pour sourire.
Préoccupe-toi plus de ta conscience que de ta réputation.
Parce que ta conscience est ce que tu es, et ta réputation c’est ce que les autres pensent de toi…

Et ce que les autres pensent de toi…c’est leur problème.

 

Auteur Inconnu

Time is a thief

J’adore ce texte et merci à son auteur 😉 . Je le partage avec vous en espérant qu’il vous apportera,ce qu’il m’a apporté et bien plus encore.

Time is a thief
Enjoy every bit of your life
Love and share your love with your kind
Live the moment through love
The owner of tomorrow might come
Not tomorrow you might think
Come to your sense
That day, you might miss it or feel older
Dead or less likely inclined to do it
Do not keep it for tomorrow
Time is against you
Time is a thief

Une jeune femme rend visite à sa mère et lui parle de sa vie et des difficultés qu’elle a.

Elle ne sait pas comment s’en sortir et elle envisage d’abandonner. ..
Elle est tellement fatiguée de se battre continuellement.
Elle a l’impression que lorsqu’un problème est résolu, un nouveau se présente.
Sa mère l’amène à la cuisine et elle prend une carotte, un œuf et du café.
Elle remplit trois casseroles d’eau et les place sur le feu élevé. L’eau contenue dans ces 3 casseroles se met à bouillir rapidement.
Dans la première casserole, la mère plonge des carottes, elle met des œufs dans la deuxième casserole, et dans la troisième les grains de café moulu.
Elle laisse bouillir, sans dire un mot. Au bout de 20 minutes, elle éteint le feu.
Elle égoutte les carottes et les place dans un bol.
Elle sort les œufs et les met dans un bol.
Finalement, elle met le café dans un bol.
Se tournant vers sa fille, elle demande :

— « Dis-moi ce que tu vois? »
–« Des carottes, des œufs et du café »,  répond la fille..
Sa mère lui demande de se rapprocher des carottes.
La fille se rapproche et note que les carottes sont molles.
La mère lui demande ensuite de prendre un œuf et de briser la coquille, ce que fait la fille.
Cette dernière observe alors que l’œuf est dur.
Finalement, la mère demande à sa fille de goûter au café.
La fille sourit en goûtant à l’arôme riche du café.
La fille lui demande ensuite : « Qu’est-ce que ça signifie, maman? »
Sa mère lui explique que chacun de ces objets a fait face à la même adversité : de l’eau bouillante et chacun a réagi différemment.
— Les carottes sont arrivées fortes et dures. Cependant, après avoir été soumises à l’eau bouillante, elles se sont ramollies et sont devenues faibles.
— Les œufs étaient fragiles. Leur coquille mince protégeait leur liquide intérieur, mais après avoir passé du temps dans l’eau bouillante, ils sont devenus plus durs à l’intérieur.
— Les grains de café moulu quant à eux. Après avoir été soumis à l’eau bouillante, ils ont changé l’eau.

« Lequel es-tu? » demande la mère à sa fille.  « Quand l’adversité frappe à ta porte, comment réagis-tu? » « Es-tu une carotte, un œuf ou un grain de café? »
Dis toi toujours ceci : Lequel suis-je face à l’adversité ?

Suis-je la carotte qui semble forte, mais qui devient molle et perd de sa force devant la douleur ?
Suis-je un œuf qui débute avec un cœur malléable mais qui change quand la situation se réchauffe?
Ai-je un esprit fluide qui après un décès, une rupture, une difficulté financière …est devenu plus dur et fermé ?
Ai-je la même coquille, mais du côté intérieur, suis-je devenu amer et dur avec un esprit rigide et un cœur de pierre?
Ou suis-je un grain de café? Le grain, en fait, change au contact de l’eau chaude : la circonstance qui amène la douleur. Lorsque l’eau devient de plus en plus chaude, il relâche davantage sa fragrance et sa saveur..
Si tu es comme le grain de café : quand les choses semblent être pires, tu deviens meilleur et tu changes les circonstances autour de toi.

Quand les temps semblent les plus sombres et que les difficultés sont les plus grandes,  t’élèves-tu à un niveau supérieur ?  Comment gères-tu l’adversité?
Réagis-tu comme la carotte, l’œuf ou le café ?

 

Puissions-nous avoir suffisamment de joies pour nous rendre heureux, suffisamment de défis pour nous rendre fort et suffisamment d’espoir pour nous garder positif.
Les gens les plus heureux n’ont pas nécessairement le meilleur de tout ; ils ne font que ressortir le meilleur de tout ce que la vie met sur leur route. 


L’avenir le plus clair sera toujours basé sur un passé oublié Tu ne peux pas aller de l’avant dans la vie à moins de laisser aller les blessures et tracas du passé.
Soyons tous des grains de café !!!

 

Une jeune fille avait pris place dans un compartiment de chemin de fer bondé. Une vieille femme revêche vint s’asseoir à côté d’elle, en la bousculant, portant divers sacs.

Le voisin, pris de colère, demanda à la jeune fille pourquoi elle n’avait pas protesté et faire valoir son droit : elle répondit avec un sourire : « Ce n’est pas la peine de se disputer pour si peu, le voyage ensemble est si court ! » Je descends à la prochaine station.

Voici une réponse qui devrait être une devise écrite en lettre d’or dans nos comportements de tous les jours, et ce, partout : « Ce n’est pas la peine de se disputer pour si peu, le voyage ensemble est si court ! ».

Si chacun pouvait se rendre compte que notre passage ici-bas est de si courte durée, l’assombrir par de futiles disputes serait une perte de temps et d’énergie.

Quelqu’un nous a-t-il blessé le cœur, du calme le voyage est si court !

Quelqu’un nous a-t-il trahit, brimé, ou humilié, du calme le voyage est si court !

Quel que soit ce que l’on nous fera comme peines, rappelons-nous que le voyage ensemble est si court ! Revêtons-nous donc de douceur.

En effet, la douceur est une vertu qui n’a jamais été synonyme de manque de caractère, ni de lâcheté, mais bien plus synonyme de grandeur.

Notre voyage ensemble ici-bas est bien court, et il est sans retour. Personne ne connaît la durée de son voyage ! Personne ne sait s’il devra descendre à la prochaine station ! En sus, personne ne sait si ce qu’il/elle vient de dire à une personne sera les dernières paroles qu’elle entendra, ou les dernières que il/elle prononcerait

 

Source : Auteur Inconnu