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Archive for the ‘Expériences de Vie’ Category

Encore un article piqué sur le net que j’ai voulu partager sur le blog. Elle me semble en cohérence avec le thème du mariage, mais me semble aussi susciter une réflexion d’une certaine pertinence. Je ne sais pas qui e est l’auteur. (suite…)

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Elle en vaut la peine…

La vie est trop courte pour se réveiller avec des regrets.
Aime  les gens qui te traite correctement et
aime aussi ceux qui ne le font pas,

Simplement parce que tu en es capable.
Croit qu’il y a une raison pour tout ce qui arrive dans la vie.
Si tu obtiens  une  seconde chance, saisis-la avec tes deux mains.

Pardonne rapidement.
Dieu n’a jamais dit que la vie sera facile.
Il nous a juste promis qu’elle en valait la peine.


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Ce n’est pas simple à raconter…Parce que c’est tellement au fond de moi que je l’ai vécu cette histoire…mais je vais essayer de la partager autant que les mots peuvent le dire, juste pour satisfaire à la question d’une amie chère…chacun tirera les leçons qu’il pense bonnes pour lui. Moi j’ai tiré les miennes et je remercie le ciel. (suite…)

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L’histoire raconte la légende d’une femme pauvre avec un garçonnet dormant sur  son  dos. Un jour,  passant devant une caverne, elle entendit une voix mystérieuse qui venait de l’intérieur lui dire :

« Entre et prend tout ce que tu désires, mais n’oublie pas le principal. Souviens-toi d’une chose : dès que tu seras sortie, la porte se refermera à tout jamais. Cependant, profite de l’opportunité, mais n’oublie pas le principal. »

La femme entra dans la caverne et trouva beaucoup de richesses.
Fascinée par l’or et les bijoux, elle dépose son enfant à terre et commence à amasser, anxieusement tout ce qu’elle pouvait déposer dans son tablier. La voix mystérieuse lui rappela : « tu as seulement huit minutes »

Les minutes épuisées, la femme chargée d’or et de pierres précieuses, courut hors de la caverne et la porte se referma. Elle se rappela alors que son fils était resté à l’intérieur et la porte était fermée à tout jamais.

La richesse dure peu  et le désespoir toujours.


Le principal, ce sont les valeurs spirituelles, la foi, la vigilance, la famille, les amis, la vie, la Vérité , l’Amour, le Don de soi.
Mais l’appât du gain, la cupidité, la richesse et les plaisirs matériels nous fascinent tellement que le principal reste bien assez souvent de côté.

Ainsi nous épuisons tout notre temps ici-bas à nous occuper des choses peu importantes ; et nous laissons de côté l’essentiel : Les trésors de l’âme.

N’ oublions pas,  que ce monde passe rapidement et que la mort arrive de façon inattendue. Et lorsque la porte de cette vie se fermera pour nous, comme sur ce garçonnet, les lamentations ne serviront à rien.

Nous vivons dans un monde rempli de soucis, d’angoisses, de corruptions, de vandalismes, d’accidents mortels, de crimes de sang, de débauche, d’injustices, où chaque jour, meurent des petits innocents, des parents , des  personnes stressées. Mais tout cela arrive parce que nous avons oublié le principal :

L’Amour, le simple fait  d’apprécier ce qu’on a et d’être en vie, la Paix, l’Humilité, la Sincérité , la Pureté , l’amitié, la Tendresse  et l’Innocence des petits Enfants.

Pose-toi une seule question : De quoi As-tu Réellement Besoin pour Vivre ?

Faisons l’effort  d’être Heureux à Chaque Instant, à Chaque Moment de la Vie, quelle que soit la Gravité ou la Difficulté d’un Problème.

La Vie , nous en avons Seulement Une. Profites-en, Soigne-la, Eprend-toi d’elle, pour que tu n’aies jamais à te repentir de rien, même si tu as manqué ou n’a pu faire quelque chose !!!

  • Dans quelques heures  une nouvelle année  s’ouvrira peut être pour toi, (Rends Grâce à Dieu ! Car certains ne  verront  pas demain) 
  • Tu seras certainement au travail (Rends Grâce ! Tout le monde n’en a pas)
  • Bien habillé(e) maquillée et Parfumé(e) (Rends grâce ! Tout le monde ne peut pas se le permettre)
  • Très occupé(e) par ton gagne-pain (Rends Grâce ! Et ais une Pensée pour les chômeurs)
  • Sollicité(e) de toute part (Rends Grâce ! Beaucoup s’ennuient au travail)
  • Tes téléphones n’arrêteront pas de sonner (Rends Grace ! Car Il y en a qui ne connaissent même pas la sonnerie de leur téléphone. Tellement ça sonne Peu !)

Ce texte est beau et plein d’enseignements. N’est-ce pas ?

Ne te fie pas à sa beauté ! Elle est superficielle, et ce n’est pas là le principal !

Fies-toi aux  « vérités »  qui s’y trouvent ! C’est là où se trouve l’essentiel, Le PRINCIPAL ! 

Que le  Tout Puissant guide nous assiste, Guide nos pas et nous aide à ne pas oublier le principal !

 

Auteur Inconnu

 

 

 

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On m’a récemment envoyé par mail ce  texte, je l’ai beaucoup aimé aussi je le partage. L’amour d’une mère n’a pas de prix.

Un soir, pendant que Maman prépare le dîner, sa petite fille arrive dans la cuisine et lui présente un morceau de papier. Maman s’essuie les mains sur son tablier et commence à lire.

  • Pour avoir tondu le gazon……………………………………………………500 Frs
  • Pour le nettoyage de ma chambre……………………… …………….. ..500 Frs
  • Pour avoir fait des emplettes pour toi…………………………………..500 Frs
  • Pour avoir gardé mon petit frère pendant que tu étais au service……………………………500 Frs
  • Pour avoir obtenu un bon bulletin………. ………………………………500 Frs
  • Pour avoir sorti les déchets…………………………………………………500 Frs
  • Pour le nettoyage et râtelage de la cour…. …………………………….500 Frs

Total….. ………………………………………………………………………… ………3500 Frs

Sa mère la regarda droit dans les yeux. On pouvait voir, dans ses yeux brillants, défiler une foule de souvenirs.

La maman prit alors la plume, tourna la feuille et se mit à écrire au verso :

  • Pour t’avoir portée  9 mois, c’est…………………………………………….. GRATUIT.
  • Pour toutes  les nuits passées auprès de toi à prier , chanter et à te soigner, c’est …………………..GRATUIT.
  • Pour tout le temps et toutes les larmes dépensées pour toi depuis ta naissance, c’est………………GRATUIT.
  • Pour tous les conseils, les connaissances transmises et le prix de tes étude s , c’est……………… GRATUIT.
  • Pour tes jouets, ta nourriture, tes vêtements et même pour t’essuyer les larmes et  te moucher,  c’est……………………….GRATUIT.

Ma fille, si tu fais  l’addition, tu constateras que le prix de mon amour pour toi, c’est……………………..GRATUIT.

Quand la fille eu terminé de lire ce que sa maman avait écrit, deux grosses larmes coulait sur ses petites joues. Elle regarda sa mère et lui dit: « Maman comme Je t’aime !  » C’est alors qu’elle prit la plume et inscrivit sur sa facture en grosses lettres… PAYÉ INTÉGRALEMENT…
Avec Dieu c’est pareil, on attend toujours plus et on ne s’aperçoit pas de ce qu’il nous donne à coté.
Disons merci à DIEU  pour la vie  qu’il nous donne car c’est aussi… GRATUIT.
Partage ce beau message avec quelqu’un, une maman, un enfant, ça ne te coutera rien (peut être le temps de ta connexion)… C’est GRATUIT et ça pourrait faire plaisir à autrui.

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Un maître de l’Orient a vu un scorpion se noyer et décida de le tirer de l’eau, et lorsqu’il le fit, le scorpion le piqua.
Par l’effet de la douleur, le maître lâcha l’animal qui de nouveau tomba  à  l’eau. En train de se noyer, le maître tenta à nouveau  de le tirer  de là ; seulement  l’animal le piqua encore.
Quelqu’un qui était en train d’observer se rapprocha du maître et lui dit :
— Excusez-moi, mais vous êtes têtu! Ne comprenez vous pas qu’à  chaque fois que vous tenteriez de le tirer de l’eau  il va vous piquer ?
Le maître répondit:

La nature du scorpion est de piquer, et cela ne va pas changer la mienne qui est d’aider.
Alors,  à  l’aide d’une feuille, le maître tira le scorpion de l’eau et sauva sa vie et continua:
– – Ne change pas ta nature si quelqu’un te fait mal; prends juste des précautions.
Les uns poursuivent le bonheur, les autres le créent.
Quand la vie te présente mille raisons de pleurer, montre-lui que tu as mille raisons pour sourire.
Préoccupe-toi plus de ta conscience que de ta réputation.
Parce que ta conscience est ce que tu es, et ta réputation c’est ce que les autres pensent de toi…

Et ce que les autres pensent de toi…c’est leur problème.

 

Auteur Inconnu

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Une jeune femme rend visite à sa mère et lui parle de sa vie et des difficultés qu’elle a.

Elle ne sait pas comment s’en sortir et elle envisage d’abandonner. ..
Elle est tellement fatiguée de se battre continuellement.
Elle a l’impression que lorsqu’un problème est résolu, un nouveau se présente.
Sa mère l’amène à la cuisine et elle prend une carotte, un œuf et du café.
Elle remplit trois casseroles d’eau et les place sur le feu élevé. L’eau contenue dans ces 3 casseroles se met à bouillir rapidement.
Dans la première casserole, la mère plonge des carottes, elle met des œufs dans la deuxième casserole, et dans la troisième les grains de café moulu.
Elle laisse bouillir, sans dire un mot. Au bout de 20 minutes, elle éteint le feu.
Elle égoutte les carottes et les place dans un bol.
Elle sort les œufs et les met dans un bol.
Finalement, elle met le café dans un bol.
Se tournant vers sa fille, elle demande :

— « Dis-moi ce que tu vois? »
–« Des carottes, des œufs et du café »,  répond la fille..
Sa mère lui demande de se rapprocher des carottes.
La fille se rapproche et note que les carottes sont molles.
La mère lui demande ensuite de prendre un œuf et de briser la coquille, ce que fait la fille.
Cette dernière observe alors que l’œuf est dur.
Finalement, la mère demande à sa fille de goûter au café.
La fille sourit en goûtant à l’arôme riche du café.
La fille lui demande ensuite : « Qu’est-ce que ça signifie, maman? »
Sa mère lui explique que chacun de ces objets a fait face à la même adversité : de l’eau bouillante et chacun a réagi différemment.
— Les carottes sont arrivées fortes et dures. Cependant, après avoir été soumises à l’eau bouillante, elles se sont ramollies et sont devenues faibles.
— Les œufs étaient fragiles. Leur coquille mince protégeait leur liquide intérieur, mais après avoir passé du temps dans l’eau bouillante, ils sont devenus plus durs à l’intérieur.
— Les grains de café moulu quant à eux. Après avoir été soumis à l’eau bouillante, ils ont changé l’eau.

« Lequel es-tu? » demande la mère à sa fille.  « Quand l’adversité frappe à ta porte, comment réagis-tu? » « Es-tu une carotte, un œuf ou un grain de café? »
Dis toi toujours ceci : Lequel suis-je face à l’adversité ?

Suis-je la carotte qui semble forte, mais qui devient molle et perd de sa force devant la douleur ?
Suis-je un œuf qui débute avec un cœur malléable mais qui change quand la situation se réchauffe?
Ai-je un esprit fluide qui après un décès, une rupture, une difficulté financière …est devenu plus dur et fermé ?
Ai-je la même coquille, mais du côté intérieur, suis-je devenu amer et dur avec un esprit rigide et un cœur de pierre?
Ou suis-je un grain de café? Le grain, en fait, change au contact de l’eau chaude : la circonstance qui amène la douleur. Lorsque l’eau devient de plus en plus chaude, il relâche davantage sa fragrance et sa saveur..
Si tu es comme le grain de café : quand les choses semblent être pires, tu deviens meilleur et tu changes les circonstances autour de toi.

Quand les temps semblent les plus sombres et que les difficultés sont les plus grandes,  t’élèves-tu à un niveau supérieur ?  Comment gères-tu l’adversité?
Réagis-tu comme la carotte, l’œuf ou le café ?

 

Puissions-nous avoir suffisamment de joies pour nous rendre heureux, suffisamment de défis pour nous rendre fort et suffisamment d’espoir pour nous garder positif.
Les gens les plus heureux n’ont pas nécessairement le meilleur de tout ; ils ne font que ressortir le meilleur de tout ce que la vie met sur leur route. 


L’avenir le plus clair sera toujours basé sur un passé oublié Tu ne peux pas aller de l’avant dans la vie à moins de laisser aller les blessures et tracas du passé.
Soyons tous des grains de café !!!

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Une jeune fille avait pris place dans un compartiment de chemin de fer bondé. Une vieille femme revêche vint s’asseoir à côté d’elle, en la bousculant, portant divers sacs.

Le voisin, pris de colère, demanda à la jeune fille pourquoi elle n’avait pas protesté et faire valoir son droit : elle répondit avec un sourire : « Ce n’est pas la peine de se disputer pour si peu, le voyage ensemble est si court ! » Je descends à la prochaine station.

Voici une réponse qui devrait être une devise écrite en lettre d’or dans nos comportements de tous les jours, et ce, partout : « Ce n’est pas la peine de se disputer pour si peu, le voyage ensemble est si court ! ».

Si chacun pouvait se rendre compte que notre passage ici-bas est de si courte durée, l’assombrir par de futiles disputes serait une perte de temps et d’énergie.

Quelqu’un nous a-t-il blessé le cœur, du calme le voyage est si court !

Quelqu’un nous a-t-il trahit, brimé, ou humilié, du calme le voyage est si court !

Quel que soit ce que l’on nous fera comme peines, rappelons-nous que le voyage ensemble est si court ! Revêtons-nous donc de douceur.

En effet, la douceur est une vertu qui n’a jamais été synonyme de manque de caractère, ni de lâcheté, mais bien plus synonyme de grandeur.

Notre voyage ensemble ici-bas est bien court, et il est sans retour. Personne ne connaît la durée de son voyage ! Personne ne sait s’il devra descendre à la prochaine station ! En sus, personne ne sait si ce qu’il/elle vient de dire à une personne sera les dernières paroles qu’elle entendra, ou les dernières que il/elle prononcerait

 

Source : Auteur Inconnu

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Au fond du puits…

 

Un jour, l’âne d’un fermier est tombé dans un puits.

L’animal gémissait pitoyablement pendant des heures,

Et le fermier se demandait quoi faire. Finalement, il a décidé que l’animal était vieux et le puits devait disparaître de toute façon, ce n’était pas rentable pour lui de récupérer l’âne.

Il a invité tous ses voisins à venir et à l’aider. Ils ont tous saisi une pelle et ont commencé à enterrer l’âne dans le puits.

Quand l’âne a réalisé ce qui se produisait, il se mit à crier terriblement. Puis à la stupéfaction de chacun, il s’est tu. Quelques pelletées plus tard, le fermier a regardé dans le fond du puits et a été étonné de ce qu’il a vu.

Avec chaque pelletée de terre qui tombait sur lui, l’âne faisait quelque chose de stupéfiant. Il se secouait pour enlever la terre de son dos et montait dessus. Chaque fois que les voisins du fermier continuaient à pelleter sur l’animal, il se secouait et montait dessus.

Bientôt, chacun a été stupéfié que l’âne soit hors du puits et se mit à trotter !

Source : Auteur Inconnu

La vie va essayer de t’engloutir de toutes sortes de choses. L’astuce pour se sortir du trou est de se secouer pour avancer.

Chaque  ennui pourrait être un moyen nous permettant  de progresser , aussi il ne faut pas abandonner.

Parfois, il suffirait de libérer son cœur de la haine et son esprit des inquiétudes.

Je sais, ce n’est pas facile, mais qui ne risque rien… N’a rien !

 

 

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« Les gens ne connaissent pas leur bonheur, mais celui des autres ne leur échappe jamais »  Disait Pierre Daninos

Je discutais avec une personne et elle se plaignait de çi, de ça et elle semblait impatiente… On pourrait croire que le tableau est si sombre …

Nous sommes parfois focalisés sur nos « douleurs » qu’on ne voit plus nos « bonheurs ». Ceci pourraient nous générer un stress et un mal être inutile, nous empêchant de profiter de l’instant présent. On donne  une ampleur inutile à une situation temporaire.

Après cet échange, j’ai pensé à ce texte d’auteur inconnu que  j’ai reçu d’un aminaute et  j’ai souhaité le partager ici.


Aujourd’hui:

Avant de dire un mot méchant,Pensez à celui qui ne peut pas parler.

Avant de vous plaindre du goût de votre nourriture, Pensez à celui qui n’a rien à manger.
Avant de vous plaindre de votre mari ou de votre femme, Pensez à celui qui supplie Dieu de lui accorder un compagnon.
Avant de vous plaindre de vos enfants, Pensez à celui qui désire des enfants mais qui ne peut en avoir.

Avant de discuter de votre maison sale que quelqu’un n’a pas nettoyé ou balayé,
Pensez aux gens qui vivent dans les rues.

Avant de pleurnicher sur la distance que vous conduisez, Pensez à celui qui parcours la même distance avec ses pieds.


Et quand vous êtes fatigués et que vous vous plaignez de votre travail, Pensez aux chômeurs, aux handicapés, et à tous ceux qui souhaiteraient avoir votre travail.
Avant de penser à montrer du doigt ou de condamner un autre, Rappelez-vous que pas un seul d’entre nous est sans péché et que nous récolterons ce que nous aurons semé.

Et quand les pensées déprimantes semblent vous affaiblir,  Mettez un sourire sur votre visage et remerciez Dieu d’être en vie et toujours présent.

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Je suis tombée sur un texte qu’on m’a envoyé par mail il y a quelques années et j’ai pensé le partager. Il parle de quelque chose que nous faisons bien assez souvent et sans même se rendre compte ou encore mesurer la portée de notre acte… Bonne lecture !

Un couple marié depuis quelques années ne parvient pas à avoir d’enfants.
Pour ne pas se sentir trop seul, ils achètent un chiot qu’ils élèvent avec beaucoup d’attention et d’amour, comme si c’était leur propre fils.

Le temps passe et le chien grandit, jusqu’à devenir un beau et grand berger allemand. A plusieurs occasions, notamment lord des cambriolages, le chien prouve à ses maîtres qu’il leur est fidèle et sait Les défendre.

Au bout de sept ans, la femme tombe enfin enceinte. Bientôt, le bébé les accapare et petit à petit, le couple délaisse son chien. L’animal fidèle depuis tant d’années, se sent seul, désespéré et, pour tout dire, un peu jaloux du nouveau né.

Un jour, les parents placent le berceau et l’enfant endormi dans le salon tandis qu’ils partent sur la terrasse où les attend une viande rôtie.
Au bout d’un moment, le père se lève pour aller chercher des condiments dans la maison.
Dans le couloir, il tombe nez à nez avec le chien assis sur ses deux pattes arrière. Le berger allemand remue la queue, les babines ensanglantées retroussées sur ses crocs, comme s’il souriait.

Face à cette terrible vision, le maître ne réfléchit même pas : il décroche le fusil qui trône au-dessus du téléphone et tue le chien d’un coup. Ensuite, il se précipite dans le salon et… y trouve un serpent égorgé, à deux mètres du berceau où l’enfant dort sagement.

Combien de fois avons-nous jugés injustement une personne ?

Les apparences sont souvent trompeuses; nous avons vite fait de cataloguer quelqu’un sans savoir qui il est vraiment !

Quelles sont tes pensées, quels sont tes sentiments ? Souvent, les êtres ne sont pas aussi noirs qu’ils le paraissent. Ils sont parfois contrariés par une situation qu’ils ne maîtrisent pas.

La prochaine fois que l’on se sentira sur le point de juger quelqu’un sans appel, sur de simples apparences ou soupçons, souvenons nous de l’histoire du chien fidèle…

Cessons de juger sur l’apparence. Jugeons avec équité si jugement il y a  à faire !

PS :

Si vous le voulez bien alors, je suggère la lecture de ce texte sous ce lien que je vais nommer  « Reboot »  … ou Redémarrer en français. Je l’avais  lu;  je viens de le relire et je trouve les propos d’une clairvoyance !

On devrait être comme ça… Même si ce n’est pas évident.

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